• À lire aussi : Utilisation de « n-word » : le CRTC devrait s’excuser, dit Legault « C’est une émission d’affaires publiques ! Vous tous, en tant que journalistes, membres du CRTC, non élus, allez vous dire ce que vous avez le droit de dire ou de ne pas dire à l’antenne et c’est complètement ridicule », explique la ministre Nathalie.Roy. Elle a même appelé son homologue fédéral à « remettre son pantalon pour remettre le CRTC dans le droit chemin ». Cependant, le gouvernement Trudeau n’a pas l’intention de prendre position dans ce débat. « D’une part, il faut comprendre que ce mot est chargé de sens et que son usage blesse profondément les Canadiens noirs. Par contre, il faut se rappeler qu’une telle décision doit tenir compte de la liberté de la presse, qui est fondamentale à notre démocratie et qui doit toujours être protégée », souligne le ministre du Patrimoine canadien, Pablo Rodriguez.