Image en vedette : Blizzard Entertainment Ce n’est pas une surprise, car Politico avait entendu parler de cette possibilité fin novembre. Cela signifie que le CFC veut empêcher Microsoft d’apporter des franchises telles que Call of Duty, Diablo, Candy Crush ou Overwatch, car il ne fait pas confiance à l’entreprise pour assurer une distribution équitable de celles-ci. ci sur d’autres consoles, voire offrir une expérience de jeu de qualité égale aux joueurs ayant sélectionné un adversaire. En tant que tel, cela deviendrait, pour eux, un moyen de nuire à la concurrence, même si cette semaine, il a été annoncé l’intention de ramener Call of Duty à Nintendo si la transaction était approuvée. En effet, CFC craint que le passé ne soit garant de l’avenir, prenant pour exemple le rachat de ZeniMax qui, malgré des promesses faites en Europe, a vu l’entreprise apporter par la suite RedFall et Starfield en exclusivités pour les produits Microsoft. Microsoft a déjà montré qu’il peut et cachera le contenu de ses rivaux de jeu. Aujourd’hui, nous cherchons à empêcher Microsoft de prendre le contrôle d’un studio de jeux indépendant de premier plan et de l’utiliser pour nuire à la concurrence sur de nombreux marchés de jeux dynamiques et en croissance. – Holly Vedova, directrice du bureau des compétitions du CFC Désormais, ce sera un débat qui sera porté devant la Cour fédérale. Si CFC obtient gain de cause, cela mettra tout simplement fin aux ambitions de Microsoft d’avaler Activision Blizzard, du moins sous sa forme actuelle. Tout se passera dans les mois à venir, mais le temps sera compté pour les parties concernées, car l’offre d’achat est valable jusqu’en juillet 2023. Passé ce délai, il vous faudra renégocier un nouveau pacte ou simplement rétrograder le projet oublié. A LIRE AUSSI: Phil Spencer annonce qu’il accepte de ramener Call of Duty sur Nintendo