Publié à 19h34

La résolution indiquait que Mme Archibald avait divulgué des informations confidentielles sur les plaintes portées contre elle, compromettant l’intégrité du processus de plainte de l’assemblée. Le vote a nécessité 60% des délégués éligibles pour approbation, mais la résolution a été rejetée. La chef de Tk’emlups te Secwepemc, Rosanne Casimir, a poussé la motion en disant qu’il y a des règles pour les dirigeants et que la situation est devenue un embarras national. Mme Archibald a affirmé qu’elle avait été suspendue pour avoir tenté d’enquêter sur la corruption à l’assemblée et a appelé à un audit médico-légal des livres de l’organisation au cours des huit dernières années. L’assemblée a publié une déclaration disant que les actions de RoseAnne Archibald éclipsent le véritable travail nécessaire au nom des peuples des Premières Nations et que ce qu’elle fait est nuisible et illégal. Malgré sa suspension, Archibald a ouvert la réunion annuelle de l’Assemblée des Premières Nations (APN) à Vancouver plus tôt mardi.