Regardez le Tour de France en direct sur EurosportLe film des qualifications Grand Prix de Grande-Bretagne Pôle “émouvant” pour Sainz, après une longue émancipation IL Y A UNE HEURE Jusque-là jamais récompensé samedi, quintuple vice-champion de la course mais jamais vainqueur, le Madrilène de 27 ans a définitivement ouvert son palmarès avec un premier honneur qu’il a remporté grâce à sa force de poignet et son sens de l’art. équilibre dans une piste détrempée avec une pluie renouvelée. Max Verstappen (Red Bull), qui avait dominé les deux premières manches qualificatives, l’a vécu en lançant une attaque à 360° en Q3, tout comme Charles Leclerc (Ferrari) en fin de séance. Après un énorme suspense – Sainz, Verstappen, le rookie Zhou et le vétéran Alonso se sont échangés la première place – le pilote de Maranello, deuxième, a remporté la décision dans un tour de funambule en 1’40” 983, sous le drapeau à damier, au milieu des embûches, pas la dont le moins était l’aquaplanage. Sainz en feu et enfin en pole, devant Verstappen Vainqueur pour la première fois cette saison de son duel avec les Reds face à Charles Leclerc dans le chrono – si l’on ne tient pas compte de la non-présentation du Monégasque en Q2 à Montréal -, le fils du champion du monde des rallyes 1990 et 1992, qui a remporté le du nom de Carlos, il a donc réussi l’exploit de battre Max Verstappen, auteur des deux pole positions disputées cette année, à Imola et à Montréal. Et c’était proche : 0,072 pour être exact. Dans cette ambiance de chaos et de classements en remaniement permanent, il fallait surtout tenir les pneus “intermédiaires” à température pour espérer signer un résultat probant. Charles Leclerc (Ferrari) et Sergio Pérez (Red Bull), qui ont respectivement terminé troisième et quatrième avec 0″315 et 0″633, ont peut-être fait mieux que les autres, et Lewis Hamilton (Mercedes) un peu moins, échouant cinquième, à 1″012. Juste devant Lando Norris (McLaren), Fernando Alonso (Alpine) et George Russell (Mercedes), qu’il devance d’à peine 0″166. Ces deux positions, les Français auraient aimé les prendre, mais ont échoué en Q2, pour diverses raisons. Pierre Gasly (AlphaTauri), en manque d’orientation et de confiance – facteur essentiel à Silverstone – a néanmoins pris vendredi la onzième place, tandis qu’Esteban Ocon (Alpine) a subi un problème technique qui l’a empêché de viser mieux que la quinzième place. S’il pleut dimanche, les deux Normands auront une nouvelle chance de briller. Que se disent tous les pilotes autour d’eux sur la grille.

Ocon et Gasly débarquent au T2

Mais tout comme à Montréal, la phase précédente du championnat, il y avait de la place pour des invités surprises dans le Top 10, parmi ces grands noms. On se souvient que Mick Schumacher (Haas) et Guanyu Zhou (Alfa Romeo) ont été les plus chanceux au Canada. Et cette fois, c’est Nicolas Latifi, du jamais vu en Q3, qui a accompagné les Chinois dans cette ultime séance des braves. Et personne ne lui reprochera chez Williams d’avoir lâché prise avant la fin, très content de sa dixième place et revenu sans rien de cassé. Grand Prix de Grande-Bretagne Libre 3 : Verstappen largement devant Pérez et Leclerc IL Y A 7 HEURES Grand Prix de Grande-Bretagne Verstappen et Leclerc attendent la pluie, pour différentes raisons HIER


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Regardez le Tour de France en direct sur EurosportLe film des qualifications Grand Prix de Grande-Bretagne Comment Mercedes a gêné Hamilton IL Y A UNE HEURE Jusque-là jamais récompensé samedi, quintuple vice-champion de la course mais jamais vainqueur, le Madrilène de 27 ans a définitivement ouvert son palmarès avec un premier honneur qu’il a remporté grâce à sa force de poignet et son sens de l’art. équilibre dans une piste détrempée avec une pluie renouvelée. Max Verstappen (Red Bull), qui avait dominé les deux premières manches qualificatives, l’a vécu en lançant une attaque à 360° en Q3, tout comme Charles Leclerc (Ferrari) en fin de séance. Après un énorme suspense – Sainz, Verstappen, le rookie Zhou et le vétéran Alonso se sont échangés la première place – le pilote de Maranello, deuxième, a remporté la décision dans un tour de funambule en 1’40” 983, sous le drapeau à damier, au milieu des embûches, pas la dont le moins était l’aquaplanage. Sainz en feu et enfin en pole, devant Verstappen Vainqueur pour la première fois cette saison de son duel avec les Reds face à Charles Leclerc dans le chrono – si l’on ne tient pas compte de la non-présentation du Monégasque en Q2 à Montréal -, le fils du champion du monde des rallyes 1990 et 1992, qui a remporté le du nom de Carlos, il a donc réussi l’exploit de battre Max Verstappen, auteur des deux pole positions disputées cette année, à Imola et à Montréal. Et c’était proche : 0,072 pour être exact. Dans cette ambiance de chaos et de classements en remaniement permanent, il fallait surtout tenir les pneus “intermédiaires” à température pour espérer signer un résultat probant. Charles Leclerc (Ferrari) et Sergio Pérez (Red Bull), qui ont respectivement terminé troisième et quatrième avec 0″315 et 0″633, ont peut-être fait mieux que les autres, et Lewis Hamilton (Mercedes) un peu moins, échouant cinquième, à 1″012. Juste devant Lando Norris (McLaren), Fernando Alonso (Alpine) et George Russell (Mercedes), qu’il devance d’à peine 0″166. Ces deux positions, les Français auraient aimé les prendre, mais ont échoué en Q2, pour diverses raisons. Pierre Gasly (AlphaTauri), en manque d’orientation et de confiance – facteur essentiel à Silverstone – a néanmoins pris vendredi la onzième place, tandis qu’Esteban Ocon (Alpine) a subi un problème technique qui l’a empêché de viser mieux que la quinzième place. S’il pleut dimanche, les deux Normands auront une nouvelle chance de briller. Que se disent tous les pilotes autour d’eux sur la grille.

Ocon et Gasly débarquent au T2

Mais tout comme à Montréal, la phase précédente du championnat, il y avait de la place pour des invités surprises dans le Top 10, parmi ces grands noms. On se souvient que Mick Schumacher (Haas) et Guanyu Zhou (Alfa Romeo) ont été les plus chanceux au Canada. Et cette fois, c’est Nicolas Latifi, du jamais vu en Q3, qui a accompagné les Chinois dans cette ultime séance des braves. Et personne ne lui reprochera chez Williams d’avoir lâché prise avant la fin, très content de sa dixième place et revenu sans rien de cassé. Grand Prix de Grande-Bretagne Plainte contre Pique pour commentaires homophobes envers Hamilton IL Y A 2 HEURES Grand Prix de Grande-Bretagne Pôle “émouvant” pour Sainz, après une longue émancipation IL Y A 3 HEURES