La disparition de Delphine Jubular, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines, entretient encore son épais mystère. Mais les enquêteurs ne relâchent pas leurs efforts et continuent de chercher le moindre indice qui pourrait mener à la mère disparue à l’âge de 33 ans. Selon nos confrères de la Dépêche du Midi, la dernière enquête a porté sur le cimetière Saint-Dalmaze à Cagnac-les-Mines. Un cimetière situé non loin du domicile des époux Jubillar et qui, selon la Dépêche, connaîtrait parfaitement Cédric, le mari de Delphine et toujours le principal suspect dans cette affaire. Le cimetière apparaît également dans la zone de 2 km autour de la maison de Jubillar qui correspond à l’endroit où le téléphone portable de Delphine a été connecté pour la dernière fois. Affaire Jubillar : pourquoi le cimetière de Cagnac-les-Mines intéresse à nouveau les chercheurs https://t.co/zjVRGplLaq — La Dépêche du Midi (@ladepechedumidi) 7 juillet 2022 Selon la Dépêche, les enquêteurs seraient troublés par plusieurs éléments de preuve qui concerneraient Cédric Jubular, incarcéré depuis le 18 juin 2021. A un ami de Delphine, il aurait montré des scellés funéraires avant d’ouvrir un tiroir lors d’une enquête. . en mars 2021. Deux mois plus tard, il accompagnerait un proche au même cimetière pour lui montrer “qu’il y a beaucoup d’endroits où cacher un corps”. La zone a déjà été perquisitionnée par les gendarmes, sans succès jusqu’à présent. Mais dans cet ancien bassin minier, l’endroit regorge de creux et de puits. La question ultime demeure : les tombes devront-elles être ouvertes ? Un détective, un policier à la retraite, aurait déclaré aux gendarmes « que le corps de l’infirmière disparue se trouve sous une tombe clairement identifiée » qui ne sera pas scellée. “La seule chose au cimetière où poussent des fleurs”, selon La Dépêche.