Premièrement, le ministre propose un soutien aux retraités à faible revenu qui possèdent une voiture. L’aide concernera les travailleurs disposant d’une voiture et ayant des salaires inférieurs à 1 500, 1 600 voire 1 800 euros. “Ce n’est pas défini, je mets cette proposition sur la table”, explique celui qui reste ministre de l’Economie et des Finances. “C’est une compensation qui concernera tous ceux qui travaillent et sont obligés de prendre leur voiture. Il doit être concentré sur ceux qui ont des revenus faibles ou moyens.” Carburant : “Nous regardons si nous pouvons créer une indemnisation plus généreuse pour tous ceux qui doivent prendre leur véhicule pour se rendre au travail”, déclare le ministre @BrunoLeMaire. “Évidemment, ce serait en fonction du niveau de revenu” #le79inter pic.twitter.com/Li61mqoJJ4 — France Inter (@franceinter) 4 juillet 2022 Le ministre a également annoncé qu’il souhaitait que les offres alimentaires atteignent une remise de 50% sur la distribution. Aujourd’hui, ces offres ne peuvent pas dépasser 34% de réduction. “Je propose que nous augmentions cette limite à 50% afin qu’il y ait des prix réduits pour ceux qui en ont besoin.” Soutien aux entreprises touchées par la guerre en Ukraine : le prêt garanti par l’État (dit “résilience”) va “se poursuivre jusqu’à la fin de l’année”, annonce @BrunoLeMaire #le79inter pic.twitter.com/fZ4W5XLsJx — France Inter (@franceinter) 4 juillet 2022 Bruno Le Maire annonce également que le prêt garanti par l’Etat est prolongé jusqu’à fin 2022. Ce PGE devait s’arrêter cet été. Inflation : des contrôles “secteur par secteur” pour éviter les “emballements de marges” dans l’alimentaire, explique @BrunoLeMaire. “On ne laissera pas passer les spéculateurs de la crise inflationniste” #le79inter pic.twitter.com/hP9bg4l7w2 — France Inter (@franceinter) 4 juillet 2022 Enfin, le ministre a évoqué le renforcement du contrôle des prix dans l’alimentation secteur par secteur. “Nous ne laisserons pas passer les spéculateurs de la crise inflationniste”, a-t-il déclaré. «Nous allons mener des audits à l’échelle de l’industrie pour voir s’il y a des marges scandaleuses entre l’usine et le point de distribution, en passant par le transport ou le stockage. Ceux qui en profiteront seront punis.”