Mais Bruno Bernard, plutôt mal à l’aise lorsqu’il a été interrogé en Conseil métropolitain par l’opposition, a finalement admis dans un long post sur les réseaux sociaux que le travail des agents avait été limité pour des raisons écologiques. “Les plans d’intervention de salage et d’enneigement sont ajustés aux bulletins météorologiques antérieurs. Cela permet de mobiliser une quantité d’équipements normalement adaptés pour ajuster la quantité de salage pour un juste équilibre entre la sécurité routière et les quantités de sel qui finiront inévitablement sur l’environnement”, a indiqué le président de l’EELV de la collectivité. Comme son vice-président en charge des Routes Fabien Bagnon, Bruno Bernard a également mis en cause la météo : « Le phénomène météo tel qu’annoncé dans la prévision hier après-midi s’avère plus problématique que prévu : la pluie n’a pas dominé la neige. Les chutes de neige ont duré plus longtemps que prévu et de manière très généralisée sur le territoire, alors qu’elles ne devraient concerner que le nord et le sud-ouest. La météorologique explique une partie du retard reçu par l’appareil. Ce n’est pas vraiment le problème des “3cm de neige” comme j’ai pu l’entendre, mais l’ampleur du dérangement par rapport à ce qui était annoncé, étirant l’action du dispositif.” X